Mes bien chers frères, Mes bien chères soeurs,
la douleur est l'une des composantes de la destinée de l'homme (du chiwawa aussi, mais c'est un autre problème), elle est un châtiment de Dieu, mais aussi une épreuve que nous devons surmonter si vous voulons nous élever vers le ciel, vers la conscience, vers l'Éternel.
Je sais l'amour que vous aviez, et que vous avez encore, envers le regretté Guicha. Je le ressens moi-même au plus profond de mon coeur, et je ne sais quand guérira la déchirure que cette disparition a causé à mon âme.
Mais nous ne pouvons échapper à la réalité, et devons l'admettre, car de l'acceptation de la Réalité découle la Vérité.
Guicha fut, Guicha n'est plus.
C'est désormais dans nos coeurs et nos mémoires qu'il vivra, et NPA.
Amen.
Je vous demanderais bien une minute de silence, mais trop de minute de silence tue la minute de silence.